Les lois de la femme Sota sont expliquées dans la Paracha Nasso (Bamidbar 5, 11-31).
Et de là-bas, les Sages ont appris qu’une femme ne pouvait être Sota qu’avec 2 choses :
 La prévention : Il est dit dans la Paracha qui parle de la Sota : « et il a prévenu sa femme ».D’ici nous apprenons que si la femme d’un homme s’est isolée avec un autre homme, elle n’est Sota que si son mari l’a prévenu auparavant de ne pas s’isoler avec cet homme et il lui a dit « ne t’isoles pas avec cet homme là ».
 L’isolement : Les Sages nous disent qu’il faut que la femme se soit isolée avec l’homme dont son mari l’a prévenu et qu’ils se soient enfermés dans une pièce fermée et qu’il yait eu le temps d’avoir fait un rapport.
Cette femme Sota, qu’on craint qu’elle ait eu un rapport enétant mariée, est interdite à son mari et si c’est une femme de Cohen, elle est interdite de manger la Terouma jusqu’à ce qu’elle boive les eaux dans lesquelles on a effacé un papier sur lequel était inscrit le nom d’ה.
Si elle a vraiment eu un rapport, elle gonflera, puis éclatera comme on va l’expliquer dans la Macéhet.
Mais si elle est pure, elle pourra retourner vivre avec son mari, faire comme avant, manger la Terouma et elle aura des enfants Tsadikim, justes, des Sages pour compenser de la hontequ’elle a eu d’être soupçonnée.